Source: Lélia ou la vie de George Sand (1952), André Maurois, éd. Le Livre de Poche, 2004 (ISBN 2-253-10923-1), chap. II. Madame Dudevant, IV. Le petit Jules, p. 149 - Lélia ou la vie de George Sand, 1952
“Quant à la fascination, l'oreille a la musique. L'œil a la peinture. La mort a le passé. L'amour a le corps nu de l'autre. La littérature la langue individuelle réduite au silence.”