Source: Aphorismes sur la sagesse dans la vie, Arthur Schopenhauer (trad. J.-A Cantacuzène), éd. Félix Alcan, 1924, chap. V (« Parénèses et maximes », II (« Concernant notre conduite envers les autres », p. 220 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”