Source: Le moi assiégé. Essai sur l'érosion de la personnalité (1984), Christopher Lasch (trad. Christophe Rosson), éd. Climats, coll. Sisyphe, 2008, p. 46
“J'avais mon ânier, mon fruitier, mon parfumeur, mon orfèvre, mon papetier, des affaires prospères, des relations au palais et une maison sur le Nil. Je croyais avoir atteint l'oasis des sources fraîches.”