Source: Maximilien de Robespierre, 2 janvier 1792, au Club des Jacobins, dans royet.org, Philippe Royet. - Deuxième discours sur la guerre, 2 janvier 1792
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”