Source: Tandis que j'agonise (1930), William Faulkner (trad. Maurice-Edgar Coindreau), éd. Gallimard, coll. Du monde entier, 1966, p. 183 - Tandis que j'agonise, 1930
“Ce petit chien n'avait son pareil, il valait son pesant d'or, son aspect était réjouissant au possible, malheureusement il n'a rien à voir avec cette histoire, aussi faut-il nous détourner de lui.”