Source: L'art d'avoir toujours raison (titre original Eristische Dialektik) (1830), Arthur Schopenhauer (trad. Dominique Miermont), éd. Mille et une nuits, 1998 (ISBN 978-2-755-50242-8), p. 66
“Quant à la fascination, l'oreille a la musique. L'œil a la peinture. La mort a le passé. L'amour a le corps nu de l'autre. La littérature la langue individuelle réduite au silence.”