Source: L'Étranger, Albert Camus, éd. Gallimard, 1972 (ISBN 2-07-036002-4), partie II, chap. V, p. 185 (voir la fiche de référence de l'œuvre) - L'Étranger, 1942
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”