Source: La Maison de Claudine (1922), Colette, éd. Imprimerie Moderne de Nantes, coll. Super-Bibliothèque, 1976 (ISBN 2-261-00093-6), La «Fille de mon père», p. 90
“Il n'y a rien de tel qu'une attaque par surprise. La surprise n'intervient que lorsque l'un des deux commandants s'est totalement trompé dans son appréciation de la situation depuis le commencement.”