Source: Cette lancinante douleur de la liberté, Vladimir Boukovsky (trad. Nikita Krivochéine), éd. Robert Laffont, coll. Pluriel, 1981 (ISBN 2-01-008769-0), p. 176
“Quant à la fascination, l'oreille a la musique. L'œil a la peinture. La mort a le passé. L'amour a le corps nu de l'autre. La littérature la langue individuelle réduite au silence.”