Source: Défense et illustration de la langue française (1549), Joachim du Bellay, éd. inexistante, 1549, Chapitre VI. D'inventer des mots, et de quelques autres choses que doit observer le poète français, p. aucune - Défense et illustration de la langue française
“En attendant, il s'agit de mettre mes pensées à l'abri, et de veiller sur elles pour le cas où, dans les temps à venir, elles seraient peut-être encore réalisables.”