Source: Défense et illustration de la langue française (1549), Joachim du Bellay, éd. inexistante, 1549, Chapitre VI. D'inventer des mots, et de quelques autres choses que doit observer le poète français, p. aucune - Défense et illustration de la langue française
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”