Source: (fr) « Réflexions et maximes », dans Œuvres de Vauvenargues, Luc de Clapiers, éd. Furne et Cie, 1857, maxime 267, p. 407 - Réflexions et maximes
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”