Source: Les Compagnons d'Eternité, Jeanne Bourin, éd. Editions François Bourin, 1992 (ISBN 2-87686-113-5), partie I - 8 juillet 1099 - 1er février 1100, chap. 5, p. 118 - Les Compagnons d'Eternité, 1992
“C'était un mélange improbable : la peur, prégnante ; l'inconfort, douloureux ; et l'ennuie, absolu. Sur les trois, l'ennuie était le plus insupportable. Ma prison était une chambre de privations sensorielles.”