Source: « Les Trois Impostures », dans Œuvres complètes, Paul-Jean Toulet, éd. Robert Laffont, 1986 (ISBN 2-221-04848-2), Mulier, 140), p. 178 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
“C'était un mélange improbable : la peur, prégnante ; l'inconfort, douloureux ; et l'ennuie, absolu. Sur les trois, l'ennuie était le plus insupportable. Ma prison était une chambre de privations sensorielles.”