Source: L'Étranger, Albert Camus, éd. Gallimard, 1972 (ISBN 2-07-036002-4), partie II, chap. V, p. 174 (voir la fiche de référence de l'œuvre) - L'Étranger, 1942
“En attendant, il s'agit de mettre mes pensées à l'abri, et de veiller sur elles pour le cas où, dans les temps à venir, elles seraient peut-être encore réalisables.”