Source: Dans un texte à propos de son film Si Versailles m'était conté. - Alain Bergala, Jean Narboni, Claudine Paquot, éd. Cahiers du cinéma, 1986, p. 191
“[...] il était clair que Noguchi pensait avoir trouvé dans le mariage sa dernière demeure et que, de son côté, Kazu pensait y avoir découvert sa propre tombe. Mais l'on ne vit pas dans une tombe.”