Citation de Chris Marker

“Les hommes se sont toujours sus mortels, et ils en ont même tiré des façons inédites de rire et de chanter. Est-ce parce que la beauté est mortelle et qu'aimer un être, c'est aimer le passage d'un être ? Les hommes ont inventé la naphtaline de la beauté. Cela s'appelle l'Art.”

― Chris Marker

Source:
., Le Joli mai (1962), écrit par Chris Marker - Citations de Chris Marker

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Les hommes se sont toujours sus mortels, et ils en ont même tiré des façons inédites de rire et de chanter. Est-ce parce que la beauté est mortelle et qu'aimer un être, c'est aimer le passage d'un être ? Les hommes ont inventé la naphtaline de la beauté. Cela s'appelle l'Art. - Chris Marker

Autres citations de Chris Marker

“La photo, c'est la chasse. C'est l'instinct de chasse sans l'envie de tuer. C'est la chasse des anges... On traque, on vise, on tire et clac ! au lieu d'un mort, on fait un éternel.”

― Chris Marker

Source:
Commentaires 2, Chris Marker, éd. Le Seuil, 1967, p. 87 - Citations de Chris Marker

“Quand les hommes sont morts, ils entrent dans l'histoire. Quand les statues sont mortes, elles entrent dans l'art. Cette botanique de la mort, c'est ce que nous appelons la Culture.”

― Chris Marker

Source:
Les Statues meurent aussi (1953), Chris Marker, éd. Le Seuil, 1961, p. 9 - Citations de Chris Marker

“Au fond de ce voyage, il y a l'amitié humaine. Le reste est silence.”

― Chris Marker

Source:
Coréennes, Chris Marker, éd. Le Seuil, 1959, p. 138 - Citations de Chris Marker

Toutes les citations de Chris Marker

Chris Marker

Naissance: 29 juillet 1921

Décès: 29 juillet 2012 (à 91 ans)

Biographie: Chris Marker, né Christian Hippolyte François Georges Bouche-Villeneuve, le 29 juillet 1921 à Neuilly-sur-Seine et mort le 29 juillet 2012 à Paris, est un réalisateur, écrivain, illustrateur, traducteur, photographe, éditeur, philosophe, essayiste, critique, poète et producteur français.

Citation du jour

“Bien des années plus tard, sur son lit d'agonie, Aureliano le Second devait se rappeler cet après-midi pluvieux de juin où il fit irruption dans la chambre pour faire connaissance avec son premier fils.”

— Gabriel García Márquez

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