Source: Oeuvres de Maximilien Robespierre, Florence Gauthier/ Société des Études robespierristes, éd. Centenaire de la Société des Études robespierristes, 2007, t. 11 Écrits et compléments, p. 194 (189-201)
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”