Source: Le Crépuscule des idoles, Friedrich Nietzsche (trad. Henri Albert), éd. Société du Mercure de France, 1906, partie Maximes et flèches, § 33, p. 113
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”