Source: La Grande Transformation (1944), Karl Polanyi (trad. Catherine Malamoud), éd. Gallimard, 1983 (ISBN 2-07-021332-3), chap. La paix de Cent Ans, p. 22
“En attendant, il s'agit de mettre mes pensées à l'abri, et de veiller sur elles pour le cas où, dans les temps à venir, elles seraient peut-être encore réalisables.”