| “ Les malades ne comprennent pas les bien-portants, tout comme, inversement, les bien-portants ne comprennent pas les malades, et ce conflit est très souvent un conflit mortel, que le malade, en fin de compte, n'est pas de taille à affronter, mais, bien entendu, pas davantage le bien-portant, qu'un tel conflit, souvent, rend malade.” Source: Le Neveu de Wittgenstein (1982), Thomas Bernhard (trad. Jean-Claude Hémery), éd. Gallimard, coll. Du monde entier, 1985 (ISBN 2-07-070200-6), p. 65 |