Source: « Consolation à M. du Périer », François de Malherbe, dans XVIIe siècle, André Lagarde et Laurent Michard, éd. Bordas, 1970 (ISBN 4843069), p. 19
“Quant à la fascination, l'oreille a la musique. L'œil a la peinture. La mort a le passé. L'amour a le corps nu de l'autre. La littérature la langue individuelle réduite au silence.”