Source: « L'Œuvre au noir » (1968), dans Œuvres romanesques, Marguerite Yourcenar, éd. Gallimard, coll. Bibliothèque de la Pléiade, 1982 (ISBN 2-07-011018-4), chap. La Conversation à Innsbruck, p. 653
“En attendant, il s'agit de mettre mes pensées à l'abri, et de veiller sur elles pour le cas où, dans les temps à venir, elles seraient peut-être encore réalisables.”