Source: Les Monades urbaines, Robert Silverberg (trad. Michel Rivelin), éd. Librairie Générale Française, coll. Le Livre de poche Science-fiction n°7116, 1989 (réédité en 2000), chap. 4, p. 95 - Les Monades urbaines, 1970
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”