Citation de Daniel Cohn-Bendit

“Ils avaient peur, non pas des barricades, non pas du désordre, mais de la force de l'idée que des gens veulent vivre dans une société qui ne ressemble en rien à la société dans laquelle ils nous obligent de vivre, nous obligeaient de vivre et nous obligent toujours de vivre.”

― Daniel Cohn-Bendit

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Ils avaient peur, non pas des barricades, non pas du désordre, mais de la force de l'idée que des gens veulent vivre dans une société qui ne ressemble en rien à la société dans laquelle ils nous obligent de vivre, nous obligeaient de vivre et nous obligent toujours de vivre. - Daniel Cohn-Bendit

Autres citations de Daniel Cohn-Bendit

“Je ne veux pas que l'on demande aux gens "D'où viens-tu ?" mais je veux qu'on leur demande "Où veux-tu aller avec nous ?". L'imagination, c'est justement ça : mettre ensemble, faire l'impossible ! L'impossible, c'est justement ça qui nous met en avant.”

― Daniel Cohn-Bendit

“C'est idiot de sa part. Ç'aurait été la moindre des choses (d'inviter les Verts). Qu'il ait envie de voir Le Pen, ça le regarde, pas moi. C'est une faute. Parfois, les présidents qui sont un peu surexcités font des fautes.”

― Daniel Cohn-Bendit

“En somme, les bourdons sont un peu comme nos inactifs (chômeurs, retraités, étudiants) : leur production matérielle est proche de zéro, mais ils participent à la pollinisation, produisent du réseau, de l'information, du lien social.”

― Daniel Cohn-Bendit

Source:
Que faire ? Petit traité d'imagination politique à l'usage des Européens, Daniel Cohn-Bendit, éd. Hachette Littératures, 2009, p. 94

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Daniel Cohn-Bendit

Naissance: 4 avril 1945 (79 ans)

Biographie: Daniel Cohn-Bendit, né le 4 avril 1945 à Montauban, est un homme politique de nationalité allemande, présent dans la vie politique allemande, française et européenne.

Citation du jour

“[Sur l'administration] Entre les gros chefs centralisés, suintant du fond de leur carrière, les prétendants déconcentrés qui se tapent les barreaux de l'échelle, et la ribambelle de décentralisés, indépendants pour faire joli, on se tord les tripes pour un rien.”

— Loïc Decrauze

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