Citation de Jorge Carrera Andrade

“Langue de solitude, chaque fleur nie ou affirme avec la voix du vent et dans l'alchémie brève des odeurs prépare son fragrant achèvement.”

― Jorge Carrera Andrade

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Langue de solitude, chaque fleur nie ou affirme avec la voix du vent et dans l'alchémie brève des odeurs prépare son fragrant achèvement. - Jorge Carrera Andrade

Autres citations de Jorge Carrera Andrade

“Le souvenir est à peine un nénuphar montrant, parmi les eaux, son visage de noyé.”

― Jorge Carrera Andrade

Citations d'autres auteurs

“Il existe pire que les incapables : ce sont les gens capables de tout.”

― Robert Sabatier

“La stratégie athénienne grimpe au sommet lorsque les choses se passent bien. Mais la mentalité spartiate s'empare du trône lorsque le monde tourne mal.”

― Howard Bloom

Source:
(fr) Le principe de Lucifer : le cerveau global, Howard Bloom (trad. Aude Flouriot et Carole Hennebault), éd. Le jardin des livres, 2003 (ISBN 2-914569-15-7), p. 306 - Le principe de Lucifer : le cerveau global, 2003

“J'entends distinctement tomber les gouttes de ma vie dans le gouffre dévorant de l'éternité.”

― Henri-Frédéric Amiel

“La solitude c'est cette pute de vie qui vous croise un matin, vous baise toute la nuit, puis vous fait payer le prix du voyage par le retour à la case départ, le néant.”

― Damien Saez

“Je ne suis rien, je le sais, mais je compose mon rien avec un petit morceau de tout.”

― Victor Hugo

Source:
Le Rhin: lettres à un ami (ed. 1845)

Wikimedia Commons

Jorge Carrera Andrade

Naissance: 18 septembre 1903

Décès: 7 novembre 1978 (à 75 ans)

Biographie: Jorge Carrera Andrade est un écrivain et diplomate équatorien né à Quito le 18 septembre 1903 et mort à Quito le 7 novembre 1978. En tant que diplomate, il a été ambassadeur de son pays au Venezuela, au Royaume-Uni, au Nicaragua, en France, en Belgique et aux Pays-Bas.

Citation du jour

“Le vin est une substance sacramentelle. Il est exalté dans mainte page de la Bible et Notre Seigneur n'a pas trouvé de plus auguste matière pour la transformer en son sang. Il est donc digne et juste, équitable et salutaire de l'aimer !”

— Joris-Karl Huysmans

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