Citation de Edgar Allan Poe

“Pour créer des êtres individuels pensants, il était nécessaire d'incarner des portions de l'esprit divin. C'est ainsi que l'homme est individualisé ; dépouillé du vêtement corporel, il serait Dieu.”

― Edgar Allan Poe

Source:
Histoires extraordinaires

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Pour créer des êtres individuels pensants, il était nécessaire d'incarner des portions de l'esprit divin. C'est ainsi que l'homme est individualisé ; dépouillé du vêtement corporel, il serait Dieu. - Edgar Allan Poe

Autres citations de Edgar Allan Poe

“Est-il imaginable que Dieu ait pu, par rancune, créer l'homme à son image dans le seul but de le rendre fou ?”

― Edgar Allan Poe

“Quand un fou paraît tout à fait raisonnable, il est grandement temps, croyez-moi, de lui mettre la camisole.”

― Edgar Allan Poe

Source:
Oeuvres complètes de Charles Baudelaire (ed. 1923)

“Le cœur fatigué d'angoisses qui tiraient leur origine du désordre et de la décadence générale, je succombai à la cruelle fièvre. Après un petit nombre de jours de souffrance, après maints jours pleins de délire, de rêves et d'extases dont tu prenais l'expression pour celle de la douleur, pendant que je ne souffrais que de mon impuissance à te détromper, — après quelques jours je fus, comme tu l'as dis, pris par une léthargie sans souffle et sans mouvement, et ceux qui m'entouraient dirent que c'était la Mort.”

― Edgar Allan Poe

Source:
Nouvelles histoires extraordinaires (1857), Edgar Allan Poe (trad. Charles Baudelaire), éd. Gallimard, coll. Folio Classiques, 2006 (ISBN 978-2-07-033897-9), Colloque entre Monos et Una, p. 288

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Edgar Allan Poe

Naissance: 19 janvier 1809

Décès: 7 octobre 1849 (à 40 ans)

Biographie: Edgar Allan Poe est un poète, romancier, nouvelliste, critique littéraire, dramaturge et éditeur américain, ainsi que l'une des principales figures du romantisme américain.

Citation du jour

“C'est flippant de voir quelque chose partir sans que tu puisses le retenir. Le pire c'est que t'en veux plus à ta propre faiblesse qu'à la lâcheté de celui qui part.”

— Grégoire Delacourt

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