Citation de Maria Judite de Carvalho

“Les mots ne lui servaient pas à expliquer sa pensée, en l'embellissant ou la masquant, comme tout le monde le fait plus ou moins. Elle ne les employait, et en dernier recours, que pour dire ce qui était urgent”

― Maria Judite de Carvalho

Source:
Les armoires vides

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Les mots ne lui servaient pas à expliquer sa pensée, en l'embellissant ou la masquant, comme tout le monde le fait plus ou moins. Elle ne les employait, et en dernier recours, que pour dire ce qui était urgent - Maria Judite de Carvalho

Autres citations de Maria Judite de Carvalho

“Le petit garçon était raidi, subjugué, sans un mot de chagrin ou de révolte, mais ses yeux ressemblaient à ces étangs qu'une grosse averse fait déborder en hiver.”

― Maria Judite de Carvalho

Source:
Le temps de grâce

Citations d'autres auteurs

“Il a été décidé qu'on reparlerait, dès les petites classes, d'éducation civique, d'honnêteté, de courage, de refus du racisme et d'amour de la République. Il est dommage que l'école ne soit fréquentée que par les enfants.”

― André Frossard

“Celui qui sait ne parle pas, celui qui parle ne sait pas.”

― Lao Tseu

“La perspective de profits démesurés incite les gens à surestimer leurs propres aptitudes.”

― Cormac McCarthy

Source:
Non, ce pays n'est pas pour le vieil homme, Cormack McCarthy, éd. Éditions de l'Olivier, 2006, p. 239

“Accepter la volonté de Dieu est le remède de toutes les maladies du cœur.”

― Ali ibn Abi Talib

“Je ne voulais qu'essayer de vivre ce qui spontanément voulait surgir de moi. Pourquoi était-ce si difficile ?”

― Hermann Hesse

Source:
Demian

Maria Judite de Carvalho

Naissance: 1921 (103 ans)

Biographie: Maria Judite de Carvalho est un écrivain et peintre lisboète, née en 1921 et décédée dans sa ville natale en 1998. Elle fut la femme de l'écrivain portugais Urbano Tavares Rodrigues. Elle vécut également en Belgique et en France, notamment lors de la dictature de Salazar. Elle tint durant plusieurs années des chroniques sur des choses vues et entendues dans des journaux portugais.

Citation du jour

“Il devient ensuite comme le paysan qui a labouré, semé, veillé aux récoltes. Qu'il y ait ou non des intempéries, il n'a aucun regret, car il a fait de son mieux.”

— Jean-François Revel

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