Citation de Dīgha Nikāya

“Il y a quatre sortes d'amis qui doivent être considérés commes des ennemis : celui qui profite de son ami, celui qui ne rend service qu'en paroles, celui qui flatte, celui qui cause la ruine.”

― Dīgha Nikāya

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Il y a quatre sortes d'amis qui doivent être considérés commes des ennemis : celui qui profite de son ami, celui qui ne rend service qu'en paroles, celui qui flatte, celui qui cause la ruine. - Dīgha Nikāya

Autres citations de Dīgha Nikāya

“Il y a quatre sortes d'amis qui sont appelés les amis au cœur sincère : celui qui aide, celui qui reste semblable dans la prospérité et dans l'infortune, celui qui donne un bon conseil, celui qui a une sympathie réelle.”

― Dīgha Nikāya

Citations d'autres auteurs

“Un peuple prêt a sacrifier un peu de liberté pour plus de sécurité finit par perdre les deux.”

― Benjamin Franklin

“Pourquoi s'arrêter sur le passé,quand le présent est plus sûr et l'avenir est plus beau?”

― Charlotte Brontë

Source:
Jane Eyre

“L'ingratitude la plus odieuse, mais la plus commune et la plus ancienne, est celle des enfants envers leurs pères.”

― Luc de Clapiers, marquis de Vauvenargues

Source:
Oeuvres completes, revues et augmentees sur les manuscrits, accompagnees de notes (etc.) (ed. 1797)

“Pendant toutes les années du mitterrandisme nous n'avons jamais été face à une menace fasciste et donc, tout antifascisme n'était que du théâtre. Nous avons été face à un parti, le Front national, qui était un parti d'extrême droite, un parti populiste aussi à sa façon, mais nous n'avons jamais été dans une situation de menace fasciste et même pas face à un parti fasciste.”

― Lionel Jospin

“Convalescence : état de béatitude fort enviable, pour peu qu'il ne soit précédé d'aucune maladie.”

― Georges Elgozy

Dīgha Nikāya

Dīgha Nikāya

Biographie: Le Dīgha Nikāya, ou collection des longs discours, est un recueil de trente-quatre suttas faisant partie du Sutta Pitaka.

Citation du jour

“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”

— Carole Martinez

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