Citation de Octavio Paz


Octavio Paz
Source:
Liberté sur parole (1958), Octavio Paz (trad. Jean-Clarence Lambert), éd. Gallimard, coll. Poésie, 1966 (ISBN 2-07-031789-7), partie II. AIGLE OU SOLEIL ? (1949-1950), Aigle ou Soleil ? Couche de fougères, p. 108 - Liberté sur parole, 1929

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Mes yeux te tiennent suspendue comme la lune la marée embrasée. A tes pieds l'écume égorgée chante le chant de la nuit qui commence.  - Octavio Paz
Autres citations de Octavio Paz
Octavio Paz
Source:
Liberté sur parole (1958), Octavio Paz (trad. Jean-Clarence Lambert), éd. Gallimard, coll. Poésie, 1966 (ISBN 2-07-031789-7), partie II. AIGLE OU SOLEIL ? (1949-1950), Aigle ou Soleil ? Le figuier, p. 94 - Liberté sur parole, 1929
Octavio Paz
Source:
Liberté sur parole (1958), Octavio Paz (trad. Jean-Clarence Lambert), éd. Gallimard, coll. Poésie, 1966 (ISBN 2-07-031789-7), partie II. AIGLE OU SOLEIL ? (1949-1950), Travaux du poète X, p. 56 - Liberté sur parole, 1929

Octavio Paz
Octavio Paz


Naissance: 31 mars 1914

Décès: 19 avril 1998 (à 84 ans)

Biographie: Octavio Paz est un poète, essayiste et diplomate mexicain, lauréat du prix Nobel de littérature en 1990.

Citation du jour

C'est flippant de voir quelque chose partir sans que tu puisses le retenir. Le pire c'est que t'en veux plus à ta propre faiblesse qu'à la lâcheté de celui qui part.

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