Citation de Antoine Lavoisier

“Il est donc vrai que l'exercice de toutes vertus sociales, des services importants rendus à la patrie, une carrière utilement employée ne suffisent pas pour préserver d'une fin sinistre et pour éviter de finir en coupable.”

― Antoine Lavoisier

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Il est donc vrai que l'exercice de toutes vertus sociales, des services importants rendus à la patrie, une carrière utilement employée ne suffisent pas pour préserver d'une fin sinistre et pour éviter de finir en coupable. - Antoine Lavoisier

Autres citations de Antoine Lavoisier

“Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme.”

― Antoine Lavoisier

“On voit que, pour arriver à la solution de ces deux questions, il fallait d'abord bien connaître l'analyse et la nature du corps susceptible de fermenter, et les produits de la fermentation ; car rien ne se crée, ni dans les opérations de l'art, ni dans celles de la nature, et l'on peut poser en principe que, dans toute opération, il y a une égale quantité de matière avant et après l'opération ; que la qualité et la quantité des principes est la même, et qu'il n'y a que des changements, des modifications.”

― Antoine Lavoisier

Source:
Traité élémentaire de chimie, Antoine Lavoisier, éd. Ministère de l'instruction publique, 1864, p. 101.

“Nous ne pouvons procéder pour nous instruire, que du connu à l'inconnu.”

― Antoine Lavoisier

Source:
Traité élémentaire de chimie, Antoine Laurent de Lavoisier, éd. Cuchet, 1789, Discours préliminaire, p. vij

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Antoine Lavoisier

Naissance: 26 août 1743

Décès: 8 mai 1794 (à 50 ans)

Biographie: Antoine Laurent de Lavoisier, né le 26 août 1743 à Paris et guillotiné le 8 mai 1794 à Paris, est un chimiste, philosophe et économiste français. Il a énoncé la première version de la loi de conservation de la matière, démis la théorie phlogistique, baptisé l'oxygène et participé à la réforme de la nomenclature chimique.

Citation du jour

“En approchant du bosquet, j'aperçus, non sans une émotion secrète, vos signes d'intelligences, vos sourires mutuels, et le coloris de tes joues prendre un nouvel éclat. En y entrant, je vis avec surprise ta cousine s'approcher de moi, et, d'un air plaisamment suppliant, me demander un baiser.”

— Jean-Jacques Rousseau

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