Citation de Arthur Rimbaud

“Salut ; c'est le printemps ! c'est l'ange de tendresse ! Ne devinez-vous pas pourquoi je bous d'ivresse ? Ange de ma grand-mère, ange de mon berceau, Ne devinez-vous pas que je deviens oiseau, Que ma lyre frissonne et que je bats de l'aile Comme hirondell”

― Arthur Rimbaud

Source:
Correspondance générale, Éd. Honoré Champion, 1994 - ISBN: 9782745316882

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Salut ; c'est le printemps ! c'est l'ange de tendresse ! Ne devinez-vous pas pourquoi je bous d'ivresse ? Ange de ma grand-mère, ange de mon berceau, Ne devinez-vous pas que je deviens oiseau, Que ma lyre frissonne et que je bats de l'aile Comme hirondell - Arthur Rimbaud

Autres citations de Arthur Rimbaud

“Ce n'est qu'au prix d'une ardente patience que nous pourrons conquérir la cité splendide qui donnera la lumière, la justice et la dignité à tous les hommes. Ainsi la poésie n'aura pas chanté en vain.”

― Arthur Rimbaud

“Personne ne fut moins pontife que cet aimable et insouciant garçon et je pense de lui que si l'on tenta plus tard, dans les cénacles sacrés, de le griser de sa célébrité naissante, il n'y perdit pas sa raison. L'éclair de moquerie que j'ai connu dans ses yeux était trop indicateur d'un bon sens caché pour qu'il se laissât prendre aux énormes flatteries qui firent de la fantaisie échevelée de son esprit un symbole.”

― Arthur Rimbaud

Source:
D'autres auteurs le concernant

“J'ai tendu des cordes de clocher à clocher ; des guirlandes de fenêtre à fenêtre ; des chaînes d'or d'étoile à étoile et je danse.”

― Arthur Rimbaud

Source:
« Phrases », dans Arthur Rimbaud : œuvres complètes, éd. Gallimard, 1972 (ISBN 2-07-010476-1), p. 132 (voir la fiche de référence de l'œuvre) - Poèmes

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Arthur Rimbaud

Naissance: 20 octobre 1854

Décès: 10 novembre 1891 (à 37 ans)

Biographie: Jean Nicolas Arthur Rimbaud est un poète français, né le 20 octobre 1854 à Charleville et mort le 10 novembre 1891 à Marseille.

Citation du jour

“C'est flippant de voir quelque chose partir sans que tu puisses le retenir. Le pire c'est que t'en veux plus à ta propre faiblesse qu'à la lâcheté de celui qui part.”

— Grégoire Delacourt

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