Citation de Tristan-Edern Vaquette

“Il n'y a que deux types d'hommes quels que soient les partis : ceux, trop rares, qui sont contre tout, contre tous et tout le temps, et les autres qui d'bonne foi, sont toujours dans l'bon camp.”

― Tristan-Edern Vaquette

Source:
Décidément Vaquette est d'extrême gauche, Tristan-Edern Vaquette, Tristan-Edern Vaquette, album L'IndispensablE (2004 chez Du Poignon Productions).

Citation en image:

Il n'y a que deux types d'hommes quels que soient les partis : ceux, trop rares, qui sont contre tout, contre tous et tout le temps, et les autres qui d'bonne foi, sont toujours dans l'bon camp. - Tristan-Edern Vaquette

Autres citations de Tristan-Edern Vaquette

“Souvent, à tous, je veux poser cette unique question qu'on ne doit pas, et qui, de toute façon, resterait sans réponse : es-tu dupe ?”

― Tristan-Edern Vaquette

Source:
Je gagne toujours à la fin (2003), Tristan-Edern Vaquette, éd. Au Diable Vauvert, 2003, chap. 47 (La force est avec moi), p. 222

“Tous, ou presque, vivent la vie qu'on leur écrit d'avance (je sais, c'est banal de le dire), j'ai la faiblesse d'aimer les autres, les rares, les trop rares, qui brisent, qui cassent leur jouet, et, si cela ne donne naissance qu'à un tas de débris, un feu violent, destructeur et bref, tant pis, même si un tel gâchis me désespère au-delà de tout.”

― Tristan-Edern Vaquette

Source:
Je gagne toujours à la fin (2003), Tristan-Edern Vaquette, éd. Au Diable Vauvert, 2003, chap. 24 (Vaquette baise pas les vieilles), p. 112

“La phrase de l'imposture, de tous les reniements, est celle-ci : la fin justifie les moyens.”

― Tristan-Edern Vaquette

Source:
Je gagne toujours à la fin (2003), Tristan-Edern Vaquette, éd. Au Diable Vauvert, 2003, p. 15

Toutes les citations de Tristan-Edern Vaquette

Tristan-Edern Vaquette

Naissance: 1969 (56 ans)

Biographie: Tristan-Edern Vaquette est un artiste performer, musicien et écrivain français, né en 1969.

Citation du jour

“Quand j'ouvrais les yeux dans l'obscurité et que je te sentais à mon côté, je m'étonnais que les étoiles ne fussent pas au-dessus de ma tête, tellement le ciel me semblait proche [...] dans l'ombre, j'ai pleuré de bonheur.”

— Stefan Zweig

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