Citation de Émile Verhaeren

“Verhaeren conclut [une conférence en 1912] en disant " l'enthousiasme qu'il éprouve pour son siècle, le plus beau, le plus vivant, en proclamant son amour pour la vie, où tout est beau, même la mort, même la souffrance, qui nous donne la joie de la combattre et d'en triompher. "”

― Émile Verhaeren

Source:
Verhaeren - Zweig Correspondance, Fabrice Van De Kerckhove, éd. Editions Labor, 1996, p. 397

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Verhaeren conclut [une conférence en 1912] en disant

Autres citations de Émile Verhaeren

“Homme, tout affronter vaut mieux que tout comprendre. La vie est à monter et non pas à descendre.”

― Émile Verhaeren

Citations d'autres auteurs

“Les hommes le plus souvent se querellent pour des mots. C'est pour des mots qu'ils tuent et se font tuer le plus volontiers.”

― Anatole France

Source:
Histoire contemporaine: Le mannequin d'osier

“À partir d'un certain moment, il devient simple de comprendre des choses très compliquées ; et compliqué de comprendre des choses très simples.”

― Francis Dannemark

Source:
L'hiver ailleurs

“Comment contrôler une telle perversité, une haine aussi monstrueuse ?”

― Jack Vance

Source:
(en) Le Dirdir, Jack Vance (trad. Michel Deutsch), éd. J'ai lu, coll. S-F, 1971, p. 194 - Le Dirdir, 1969

“Pourquoi une femme qui a plein d'hommes est une salope ? Et pourquoi un homme qui a plein de femmes c'est pas moi ?”

― Patrick Timsit

“Il y a quelque chose déternel dans l'Orient, une résistance élastique et néanmoins inébranlable contre laquelle le tonnerre fugitif de l'Occidental, ses méthodes pleines d'ardeur et réputées efficaces, ne sont que du vent.”

― William Faulkner

Source:
Coucher de soleil et autres croquis de la Nouvelle-Orléans

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Émile Verhaeren

Naissance: 21 mai 1855

Décès: 27 novembre 1916 (à 61 ans)

Biographie: Émile Adolphe Gustave Verhaeren, né à Saint-Amand dans la province d'Anvers, Belgique, le 21 mai 1855 et mort à Rouen le 27 novembre 1916, est un poète belge flamand, d'expression française. Dans ses poèmes influencés par le symbolisme, où il pratique le vers libre, sa conscience sociale lui fait évoquer les grandes villes dont il parle avec lyrisme sur un ton d'une grande musicalité.