Citation de Ana Maria Matute

“Il me semblait que, de même les pétales flottant et se groupant dans l'eau, je tournai sans poids dans le doux et fallacieux tourbillon d'un monde nourri de reflets, d'échos de voix, d'ombres de corps, fragiles empreintes sur le sable mouvant de l'oubli.”

― Ana Maria Matute

Source:
La Tour de guet

Citation en image:

Il me semblait que, de même les pétales flottant et se groupant dans l'eau, je tournai sans poids dans le doux et fallacieux tourbillon d'un monde nourri de reflets, d'échos de voix, d'ombres de corps, fragiles empreintes sur le sable mouvant de l'oubli. - Ana Maria Matute

Autres citations de Ana Maria Matute

“Temps vide, désespéré, dont on vole quelques minutes seulement par jour pour sa véritable vie.”

― Ana Maria Matute

Citations d'autres auteurs

“Connais ton ennemi et connais-toi toi-même ; eussiez-vous cent guerres à soutenir, cent fois vous serez victorieux ( Article 3 )”

Source:
L'Art de la guerre

“On dit toujours que ce qui ne nous tue pas nous rend plus forts, mais on devrait ajouter que ce qui nous mine quotidiennement finit par nous tuer !”

― Frédérique Deghelt

Source:
La vie d'une autre

“Les femmes n'ont pas tort du tout quand elles refusent les règles de vie qui sont introduites au monde, d'autant que ce sont les hommes qui les ont faites sans elles”

― Michel de Montaigne

Source:
Essais de Michel de Montaigne: tome troisieme (ed. 1793)

“Il faut accepter l'amour avec tout son cortège de souffrances, parce que l'amour ne vient pas sans souffrance, et c'est par là qu'il est grand !”

― Roger Fournier

“Je sais, mais quand même, j'en ai marre. C'est juste pour le dire. Se plaindre des fois, même sans rien pouvoir changer, ça soulage un peu !”

― Maxime Chattam

Source:
Autre-Monde, Tome 6 : Neverland

Ana Maria Matute

Wikimedia Commons

Ana Maria Matute

Naissance: 26 juillet 1925 (99 ans)

Biographie: Ana María Matute, née à Barcelone le 26 juillet 1925, est un écrivain espagnol appartenant à la Génération de 50.

Citation du jour

“C'est flippant de voir quelque chose partir sans que tu puisses le retenir. Le pire c'est que t'en veux plus à ta propre faiblesse qu'à la lâcheté de celui qui part.”

— Grégoire Delacourt

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