Maria V. Snyder (7 citations)

“-Alors tu es bien réelle. Réelle et insupportable, mais c'est bien de toi que je suis tombé amoureux.”

― Maria V. Snyder

Source:
Les portes du secret, Tome 3 : Les secrets d'opale

“La vie est faite de choix. Elena, Parfois bons,parfois mauvais. Si tu n'as plus le courage d'y faire face, alors renonce, abandonne. Mais ne fais pas les choses à moitié. Ne perds pas ton temps à t'apitoyer sur ton sort.”

― Maria V. Snyder

Source:
Les portes du Secret, Tome 1 : Le poison écarlate

“La vie est très risquée, rétorquai-je. Chaque décision, chaque rencontre, chaque geste, chaque fois que tu sors du lit, le matin, tu prends un risque. Survivre, c'est accepter ce risque, accepter de sortir du lit et d'affronter les dangers.”

― Maria V. Snyder

Source:
Les Portes du Secret, Tome 2 : Le souffle d'émeraude

“Pourquoi refusais-je d'apprendre? les gens étaient des monstres. S'ils ne l'étaient pas au départ, ils le devenaient. La preuve : Brazell, Reyad, Rand... Et Valek? Allait-il se changer en monstre? Ou bien en était-il déjà un?”

― Maria V. Snyder

Source:
Les portes du Secret, Tome 1 : Le poison écarlate

“J'admirais sont habileté et j'étais soulagée qu'il fût de mon côté, plutôt qu contre moi. Mais les rats ne peuvent aimer les chats. Ce genre d'histoire finit toujours de la même manière. Par la mort du rat.”

― Maria V. Snyder

Source:
Les portes du Secret, Tome 1 : Le poison écarlate

“Je me retournai pour lui lancer une pique et me trouvai nez à nez avec Valek. Je cessai de respirer. Il avait certainement observé mon entrainement ; J'en étais un peu gênée.”

― Maria V. Snyder

Source:
Les Portes du secret, tome 1 : Le poison écarlate

“C'est la deuxième foi que je te perds, me dit-il. On aurait pu croire que ce serait plus facile, mais je n'ai jamais pu apaiser ma douleur. J'avais l'impression qu'on avait embroché mon cœur pour le faire grillé sur un feu.”

― Maria V. Snyder

Source:
Les Portes du secret, tome 3 : Les secrets d'Opale

Maria V. Snyder

Maria V. Snyder

Citation du jour

“Et brusquement ce fut le dénouement. La portière s'ouvrit avec fracas; l'obscurité retentit d'ordres hurlés dans une langue étrangère, et de ces aboiements barbares naturels aux Allemands quand ils commandent, et qui semblent libérer une hargne séculaire.”

— Primo Levi

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