Lanza del Vasto (11 citations)

“Ne perds pas ton temps à gagner ta vie. Gagne ton temps, sauve ta vie.”

― Lanza del Vasto

“Tais-toi beaucoup pour avoir quelque chose à dire qui vaille d'être entendu. Mais encore tais-toi pour t'entendre toi-même.”

― Lanza del Vasto

“Le Diable a deux cornes, l'orgueil et le mensonge.”

― Lanza del Vasto

“Le travail est si bien divisé que l'un travaille et que l'autre récolte.”

― Lanza del Vasto

“Il m'inculqua en outre quelques préceptes de morale en me disant : Si vous voulez mener vie sainte, ne priez pas : que pouvez-vous demander à Dieu que vous ne possédiez pas ? Et qui est Dieu sinon vous-même ?”

― Lanza del Vasto

Source:
Le pèlerinage aux sources, 1947

“Il ne suffit pas du tout à l'homme de savoir si Dieu est. Il veut savoir s'il est quelqu'un et s'il répond.”

― Lanza del Vasto

“La luxure est un amour qui consiste à ne vouloir aucun bien à la personne aimée.”

― Lanza del Vasto

“Je vous conseille fortement, me dit Gandhi dès l'abord, de mettre de côté tout travail de clerc et de vous donner à faire avec vos mains.”

― Lanza del Vasto

Source:
Le pèlerinage aux sources, 1947

“Donne tant que tu as. Quant tu n'as plus rien, demande. Donne à d'autres l'occasion de te faire du bien. C'est une secrète et très fine charité.”

― Lanza del Vasto

“La joie a la nature du plaisir et la profondeur de la douleur.”

― Lanza del Vasto

“Si tu ne veux pas tomber en proie à la douleur, marche à sa rencontre.”

― Lanza del Vasto

Lanza del Vasto

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Lanza del Vasto

Naissance: 29 septembre 1901

Décès: 5 janvier 1981 (à 79 ans)

Biographie: Giuseppe Giovanni Luigi Maria Enrico Lanza di Trabia-Branciforte, dit Joseph Lanza del Vasto, connu sous le patronyme de Lanza del Vasto, est un philosophe, poète, artiste et militant de la paix italien. Il est surtout connu pour l'animation des Communautés de l'Arche, qu'il a créées sur le modèle des ashrams de Gandhi.

Personnalité italienne

Naissance en 1901

Naissance le 29 septembre

Citation du jour

“Jamais, de ma vie, je ne me suis senti aussi mortel. Tête haute, bouche ouverte, j'ai marché comme on se rend. Je trébuchais sur la guerre.”

— Sorj Chalandon

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