Edgar Quinet (4 citations)

“Toute pensée qui se bornera aux combinaisons de l'économie politique sera infailliblement trompée dans les grandes affaires humaines.”

― Edgar Quinet

“La bourgeoisie sans le peuple, c'est la tête sans le bras. Le peuple sans la bourgeoisie, c'est la force sans la lumière.”

― Edgar Quinet

Source:
Oeuvres complètes de Edgar Quinet, Éd. Pagnerre, 1858

“La terreur ne réussit pas à la démocratie, parce que la démocratie a besoin de justice, et que l'aristocratie et la monarchie peuvent s'en passer.”

― Edgar Quinet

“S'il est difficile d'empêcher de penser les peuples qui y sont accoutumés, il est cent fois plus difficile de forcer à penser ceux qui l'ont oublié ou désappris.”

― Edgar Quinet

Citations d'autres auteurs

“Dans la vie, il faut parfois faire des choix, et parfois ce sont les choix qui te font.”

― Gayle Forman

Source:
Si je reste

“La religion catholique est une méthode pour obtenir le ciel en mendiant. Mais comme il est trop difficile à obtenir, les prêtres servent d'entremetteurs.”

― Arthur Schopenhauer

“Intéresse-toi à la vie comme tu la vois, les gens, les choses, la littérature, la musique - le monde est si riche, il vibre grâce à ses trésors, de ces âmes belles et de gens intéressants. Oublie-toi.”

― Henry Miller

“Rien ne me fascine plus que le travail: je peux rester assis et le contempler pendant des heures.”

― Alphonse Allais

“Toute nation a le gouvernement qu'elle mérite.”

― Joseph de Maistre

Source:
Correspondance diplomatique, Joseph de Maistre, Albert Blanc (éd.), éd. Michel Lévy, 1861, t. 2, XLV, Saint-Petersbourg, 18/30 avril 1816, p. 196

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Edgar Quinet

Naissance: 17 février 1803

Décès: 27 mars 1875 (à 72 ans)

Biographie: Jean Louis Edgar Quinet, né à Bourg-en-Bresse le 17 février 1803 et mort à Versailles le 27 mars 1875, est un écrivain, historien et homme politique français.

Naissance en 1803

Naissance le 17 février

Citation du jour

“En approchant du bosquet, j'aperçus, non sans une émotion secrète, vos signes d'intelligences, vos sourires mutuels, et le coloris de tes joues prendre un nouvel éclat. En y entrant, je vis avec surprise ta cousine s'approcher de moi, et, d'un air plaisamment suppliant, me demander un baiser.”

— Jean-Jacques Rousseau

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