Davide Cali (4 citations)

“- Moi, j'ai exaucé le voeu d'un gars qui voulait être enfin regardé par les filles. Il est mort 24 heures après. Ceci-dit, maintenant plein de filles le regardent... Oui, il est exposé comme squelette au musée de l'homme !”

― Davide Cali

Source:
Cruelle Joëlle, Tome 2 : Week-end frisson au lac crystal

“Son sourire me paralyse comme un chat la nuit devant les phares d'une voiture.”

― Davide Cali

Source:
L'amour ? C'est mathématique !

“- Parce que tu vois, si tu donnes trop d'importance à une fille, en une semaine tu deviens son esclave, elle te pilote comme une voiture télécommandée. Donc, quand une fille t'intéresse, faut faire semblant qu'elle t'intéresse pas. C'est ça, le secret.”

― Davide Cali

Source:
L'amour ? C'est mathématique !

“Ma maman-robot... elle ne me grondera jamais. Parce que si elle me gronde, je l'éteindrai avec ma télécommande.”

― Davide Cali

Source:
Je veux une maman-robot

Citations d'autres auteurs

“Tous les hommes qui dans l'histoire, ont eu une action réelle sur l'avenir, avaient les yeux fixés sur le passé.”

― Gilbert Keith Chesterton

“Il tenait dans le creux de sa main un pouvoir plus fort que les pouvoirs de l'argent, ou que le pouvoir de la terreur, ou que le pouvoir de la mort : le pouvoir invincible d'inspirer l'amour aux hommes.”

― Patrick Süskind

Source:
Le parfum

“Il en est des médecins comme des avocats. La seule différence c'est que l'avocat se contente de vous voler alors que le médecin vous vole et vous tue par la même occasion.”

― Anton Tchekhov

“La pudeur n'est qu'un artifice qui confère plus de valeur à l'abandon.”

― Henri de Régnier

“La Raison c'est la folie du plus fort. La raison du moins fort c'est de la folie.”

― Eugène Ionesco

Davide Cali

Davide Cali

Naissance: 5 février 1972 (53 ans)

Biographie: Davide Calì, né à Liestal le 5 février 1972, est un auteur de littérature d'enfance et de jeunesse.

Naissance en 1972

Naissance le 5 février

Citation du jour

“Mes compagnons de cellule m'ont fait répéter : Assieds-toi, tiens-toi droit, l'air plein de remords, reste poli... Bref, le grand jeu.”

— Simone Elkeles

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