Source: Les Contemplations, Livre I (« Aurore »), Poème VIII (« Suite »), Victor Hugo, éd. Hetzel (Cinquième édition), 1858, p. 39 - Les Contemplations, 1856
“En attendant, il s'agit de mettre mes pensées à l'abri, et de veiller sur elles pour le cas où, dans les temps à venir, elles seraient peut-être encore réalisables.”