Source: Robespierre, écrits, Claude Mazauric, éd. Paris Messidor/Éditions sociales, 1989, p. 332 - Dernier discours à la Convention nationale, 26 juillet 1794 (8 thermidor an II)
“En attendant, il s'agit de mettre mes pensées à l'abri, et de veiller sur elles pour le cas où, dans les temps à venir, elles seraient peut-être encore réalisables.”