Source: Génie du christianisme (1802), François-René de Chateaubriand, éd. Flammarion, coll. Garnier Flammarion, 1993 (ISBN 2-08-070104-5), t. 1, partie 2 « Dogmes et doctrines », chap. I « Que la Mythologie rapetissait la nature; que les Anciens n'avaient point de poésie proprement dite descriptive », Livre quatrième « Du merveilleux, ou de la poésie dans ses rapports avec les êtres surnaturels », p. 315 - Génie du christianisme, 1802
“Souvent tapageuse, parfois insaisissable, la vie politique et son rituel quotidien obéissent à une mécanique bien huilée dans laquelle même les grincements sont savamment orchestrés.”