Source: « Faire chambre à part, le secret de l'amour toujours? », Jean-Claude Kaufmann, cité par Véronique Châtel, Coopération (journal), nº 1, 5 janvier 2010, p. 53
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”