Source: Les Chiens de garde, Paul Nizan, éd. Agone, 1998 (ISBN 2-910846-09-1), chap. Situation des philosophes, p. 86 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
“Il n'y a rien de tel qu'une attaque par surprise. La surprise n'intervient que lorsque l'un des deux commandants s'est totalement trompé dans son appréciation de la situation depuis le commencement.”