Source: Propos du matin et du soir, Naguib Mahfouz (trad. Marie Francis-Saad), éd. Sindbad-Actes Sud, coll. Les littératures contemporaines : La bibliothèque arabe, 2002, chap. Râ', p. 100
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”