Source: Le Petit Almanach de nos grands hommes pour l'année 1788, suivi d'un grand nombre de pièces inédites par M. de Rivarol [et le Mis de Champcenetz], Rivarol, éd. L. Collin, 1788, réédition de 1808, p. 72
“Quant à la fascination, l'oreille a la musique. L'œil a la peinture. La mort a le passé. L'amour a le corps nu de l'autre. La littérature la langue individuelle réduite au silence.”