Source: « Les Contemplations », dans Œuvres complètes de Victor Hugo (1856), Victor Hugo, éd. Hetzel/Quantin, 1883, t. Poésie VI, livre VI (« Au bord de l'infini »), poème XXVI (« Ce que dit la bouche d'ombre »), p. 350 - Les Contemplations, 1856
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”