| “ Personne n'avait rien remarqué, les zincs étaient banalisés, camouflés, opérationnels. Là résidait la modernité des engins de guerre. Avant, il y avait des couleurs, des drapeaux, des insignes. Maintenant, c'est plus honnête, tout est couleur de douleur, de mort, de peur, voire de chiasse.” Source: Train perdu wagon mort, Jean-Bernard Pouy, éd. Roman Noir, points n°1897, 2003 (ISBN 2-915034-07-9), p. 29 |