Source: Les Monades urbaines, Robert Silverberg (trad. Michel Rivelin), éd. Librairie Générale Française, coll. Le Livre de poche Science-fiction n°7116, 1989 (réédité en 2000), chap. 7, p. 220 - Les Monades urbaines, 1970
“On oublie vite les morts. On oublie très vite, aussi, les circonstances où l'on a été malheureux... Il ne faut pas s'en scandaliser : s'il en était autrement, la vie serait un cauchemar.”