Source: Lettres d'un bachelier ès musique, Franz Liszt, éd. Le Castor Astral, 1991, p. 134, Lettre IX: Le Persée de Benvenuto Cellini, Florence le 30 nov.1838
“C'est presque attendrissant, ce visage ravagé qui vous vient soudain, cette lourde fatigue, ces tranchées sous lez yeux, ces traces d'un combat perdu en votre absence, durant votre sommeil.”